23 octobre 2006
Guérir est une décision
Quel que soit le domaine dans lequel nous souhaitons guérir, il semble bien que le résultat dépende surtout d’une décision existentielle majeure, celle de vouloir vivre heureux à tout prix, donc de guérir du malheur.
Le "mal-heur", c’est de vivre à la mauvaise heure, c’est-à-dire dans les douleurs ou les regrets du passé, ou dans les angoisses et projections dans le futur. Le "bon-heur", c’est vivre à la bonne heure.
Et il n’y a qu’une seule heure qui soit bonne, c’est ici et maintenant, dans le présent, dans la présence à soi-même, dans la présence à l’autre, en présence de la Relation à tout ce qui existe.
Cela n’est-il pas une définition possible de l’Amour ? En français, le "présent" n’est-il pas un cadeau ?
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